FAREA est le premier Chantier Naval, à avoir mis au point le premier navire autonome en eau et électricité, capable d’être démonté (respect de la loi du littoral) capable d’être transporté en container 40 pieds (marché international), Destiné à être construit dans un avenir proche en biosourcé, et recevant (2022-2023) des moteurs électriques avec réservoirs d’hydrogènes et pile à combustible. Un objectif : Le Tourisme Durable Actif, qui permet aux clients- touristes d’agir directement sur la faune et flore marine pour la protéger.
Les règles navales, la loi du littoral, et le comportement des plaisanciers ainsi que des touristes en général, m’a éclairé sur l’urgente nécessité de permettre à tous touristes, de mieux protéger la nature. Les Faréas sont les supports qui n’ont pas d’impact, les outils et missions effectués seront les actions de « soins » que les touristes pourront prodiguer à la nature (dans le respect des écosystèmes).
Aujourd’hui, nous sommes au stade du lancement industriel : Toutes les études, les prévisionnels, les modélisations, les emplois, l’atelier de fabrication, les agréments (Chantier Naval) sont terminés ou acquis. Il nous faut juste 200k€ pour démarrer.
Faréa SASU fabrique, et Faréa France Exploitation, exploite. Nous vendons aussi bien sûr, aux clients extérieurs (à qui nous proposons notre participation pour le lancement et l’organisation de l’exploitation). Le coût de fabrication (pièce et main d’œuvre, avec les charges) a un retour sur investissement de moins de deux ans. Nos clients (qui achètent) ont un retour sur investissement de l’ordre de 2.5 à 4.5 saisons. Mais dans une exploitation annuelle cela va forcément plus vite.
Le composite sous vide. La particularité de cette méthode est qu’elle convient très bien à la fabrication des parties plates. Le résultat est que nous avons un coût de fabrication faible, de plus il suffit d’augmenter le nombre de moules, sans augmenter le nombre de personnel, pour augmenter le rendement industriel.
Les autres technologies sont : la métallurgie, plomberie-électricité, capitonnage...
Ils sont essentiellement financiers, de l’ordre de 200k€.
Ma formation (ingénieur aéro = Officier mécanicien naviguant et pilote de ligne) me permet de comprendre l’ensemble des métiers de l’usine.
En mer, nos concurrents sont rares voire inexistant, car la règle impose d’être certifié : Navire catégorie C ! Nos concurrent sont soit des maisons flottantes (interdites en mer et dans les ports) soit les Yachts (mais beaucoup plus cher), soit Aqualodge (Martinique) qui n’est pas en catégorie C, et Anthénéa : Deux fois plus cher, avec trois fois moins de cabines, et toujours pas certifié pour la France (ni l’Europe). De plus Faréa est le seul bateau de cette catégorie qui, démonté rentre dans un container. (Il a été conçu pour ça !).
La valeur ajoutée à notre produit est qu’il est beaucoup mieux exploitable (toutes typologie de clientèle, a un tarif de location faible (même pour atteindre un retour sur investissement). Nos tarifs ont dû être réhaussés, car trop bas par rapport aux tarifs de location de bateaux en général.
Nous avons un projet bien parti pour la Nouvelle Calédonie, des clients potentiels (qui attendent de monter sur Faréa pour prendre leur décision) et l’Arabie Saoudite qui nous a demandé trois jours de rencontres virtuelles (via Business France). Donc l’an prochain nous auront lancé Faréa France, Nous seront en train de lancer Faréa Nouvelle Calédonie, et les clients intéressés nous auront passé commande. Autrement dit, et comme nous sommes les seuls à avoir créé le produit APRES avoir lu et compris les différentes règles, nous devrions être prépondérant sur le marché.
Depuis la création de mon compte Christophe Roi Farea sur LinkedIn, nous avons eu une augmentation de followers de plus de 1000%.
La fédération de plongée en apnée (le Grand Bleu) souhaite utiliser nos Faréas, et des clubs d’activité maritimes souhaitent créer LEUR stages sur Faréas. Donc en fait, je croyais devoir assurer 100% des locations, (pour rémunérer les prochaines fabrications) mais en fait et même pour l’hiver, des propositions de sous-traitance, nous arrivent aujourd’hui, assurant l’utilisation à près de 80% sur toute l’année.
Je leur dirait : Cherchez ce dont vous avez envie (vous), vous serez proche de ce que veulent les autres.
Concernant Faréa, je crois que la société est maintenant très sensibilisée à la protection de la nature, au moins durant les vacances. Donc Faréa c’est l’assurance de ne pas impacter, et prochainement Faréa sera le moyen d’être directement utile à la protection de la faune et flore marine. Ceci avec les scaphandres basse pression que nous mettons au point, et qui, avec le concours des scientifiques et spécialistes des écosystèmes marins, nous aiderons à préciser des « missions ». Ex : repiquage de Posidonie, augmentant le puis carbone de la Méditerranée et optionnellement nous donner accès aux crédits carbone pour augmenter nos dépenses dédiées à la protection de la nature.
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